the particular way in which a thing exists is a composite definition of form and is the starting and end point of an exhibition and book that examines ten years of artmaking by Martin Beck. Contributors Peio Aguirre, Manuela Ammer, Michèle Thériault and Beck himself address how social and material relations are negotiated from an artistic point of view that engages with categories of display, exhibition, history and popular culture.

the particular way in which a thing exists est une définition composite de la forme, à la fois point de depart et point d’arrivée d’une exposition et d’un livre qui examinent la production artistique de Martin Beck sur une dizaine d’années. Les contributions de Peio Aguirre, de Manuela Ammer, de Michèle Thériault et de Beck lui-même étudient comment les relations sociales et materielles sont considérées selon un point de vue artistique qui implique les categories de monstration, de l’exposition, de l’histoire et de la culture populaire.

Edited by Michèle Thériault
204 pp., sewn perfect binding
colour illustrations, 24 x 18 cm, $40.00
ISBN 978-2-920394-93-3

 

S’arrêter. Geste de résistance dans un monde conçu principalement pour encourager le travail, la consommation, la croissance perpétuelle et l’efficacité. L’arrêt comme pratique de la ville. Dans des villes de plus en plus conçues pour dissuader les pauses et l’occupation oisive de sites désignés, l’arrêt apparaît comme un espace de rupture, de plaisir, d’intimité, ou simplement de nécessité et de repos.

Depuis un projet amorcé en 2015 à Mexico et poursuivi à Montréal en 2017, Jean-François Prost s’intéresse à ces réalités pour leur contraste avec le mouvement incessant des gens et les structures afférentes dans les villes actuelles où on décourage et parfois même interdit une autoconstruction du temps et de l’espace. Il y consacre un ouvrage présentant un travail photographique, des actions quotidiennes ou des interventions publiques, ainsi que des textes; par Francis Alÿs, Eduardo Barrera, Ana Patricia Alonso Contreras, Evelin Santander Daza, José Ramon Estrada, Guillaume Éthier, Marlon García, Maurizio Lazzarato, Raúl Garza Morales, Alfredo Montiel Pimentel, La Liga Tensa et Santiago Arau Pontones, Gabriela Sandoval, Santiago Sierra et les ateliers-actions Stopping.

To stop. A gesture of resistance in a world primarily designed to encourage work, consumerism, perpetual growth and efficiency. Stopping as an urban practice. In cities where pauses and idleness within specific sites are increasingly discouraged, stopping emerges as a space of rupture, pleasure, intimacy, or simply necessity and rest.

In a project begun in 2015 in Mexico City and further developed in Montreal in 2017, Jean-François Prost explores these realities for their contrasts with the incessant movement of people and related structures in contemporary cities where sometimes even self-constructions (autoconstrucción) of time and space are forbidden. This publication delves into these questions by way of photographic works, daily actions and public interventions as well as texts by Francis Alÿs, Eduardo Barrera, Ana Patricia Alonso Contreras, Evelin Santander Daza, José Ramon Estrada, Guillaume Éthier, Marlon García, Maurizio Lazzarato, Raúl Garza Morales, Alfredo Montiel Pimentel, La Liga Tensa and Santiago Arau Pontones, Gabriela Sandoval, Santiago Sierra and the Stopping action-workshops.

Ciudad de México et Montréal
Coproduit par Adaptive Actions et la Galerie Leonard & Bina Ellen, Université Concordia.  Design : TagTeam

118 pages, couverture souple, 17,7 x 27,9 cm, anglais, espagnol
insertion 3 affiches 33 x 91,4 cm, français, anglais illl. couleur
ISBN 978-0-9866375-1-3,  25,00 $
Publication et affiches fournies dans une enveloppe transparente. 

La pratique artistique de Daniel Corbeil est un croisement d’installations, de sculptures, de photographies et de maquettes. Chacun de ces médiums pose divers enjeux esthétiques, mais également des enjeux sociaux importants. Afin d’évaluer ces enjeux et faire part des aspects multiformes du travail de l’artiste, quatre auteurs ont été invités à participer à la présente publication coéditée par Plein sud édition et MA Musée d’art. John K. Grande, spécialiste réputé du land art et des liens entre l’art et la nature, Mona Hakim, historienne, auteure de nombreuses publications et commissaire indépendante, Bernard Lamarche, conservateur en art actuel au Musée national des beaux-arts du Québec., ainsi que Jean-Philippe Beaulieu, auteur et professeur titulaire au Département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, se penchent sur le parcours de Daniel Corbeil. Dans la réalisation de ses oeuvres, dont on peut admirer les habilités de miniaturisation ou les mécanismes cinétiques ou encore les univers protéiformes et délurés, Daniel Corbeil emprunte souvent à la science les études et prédictions basées sur divers modèles et simulations.

Contribuant à la scène artistique québécoise depuis plus de 25 ans, Daniel Corbeil lui inculque à la fois une crédibilité et une vision sociale. Découvrez ces univers aux multiples aspects, empreints de poésie et composés de solutions alternatives, de cycles de génération de la vie, de laboratoires climatiques qui se situent à la frontière des diverses disciplines artistiques.